Embrouille galactique
Je tiens à remercier les éditions Balivernes pour ce palpitant partenariat.
L’histoire :
Une nouvelle enquête galactique du duo Galaxine/Aérofrin. Cette fois-ci ils luttent pour découvrir qui ou quoi se cache derrière la mystérieuse transformation des martiens en canard…
Galaxine et le fidèle androïde Aérofrin s’apprêtent à faire escale sur Mars quand ils apprennent que les Loups Jumeaux, les plus terribles pirates du Système Solaire, viennent d’être capturés. Les quelques instants de détente et de surf prévus vont être vite interrompus par une catastrophe à l’échelle planétaire : les habitants se métamorphosent peu à peu en canards. En compagnie du beau Marshal Gayle d’Oslo Bos, Galaxine et Aérofrin vont enquêter et découvrir que les pirates ont ourdi un plan machiavélique menaçant l’un des fondements du bonheur stellaire : le Patatartinor, dont la fabrication et la recette secrète sont en péril car les stocks actuels ont été empoisonnés avec une substance qui change l’ADN de celui qui en mange…
Editeur :Balivernes Editions – 128 pages | Sortie : 17/01/2017
Mon avis :
Galaxine est de retour, toujours accompagnée de son équipé humanoïde, Aérofrin. Cette fois-ci ils vont devoir faire face à un complot drôlement bien préparé. Tout commence avec la capture des Loups Jumeaux, ces fameux pirates dont Galaxine rêvait de passer les menottes aux poignets. Les voilà donc arrêtés sur Mars d’une façon guère grandiose, mais toutefois à l’abri d’une épidémie – attaque biologique? – qui transforme les habitants en … canard. Oui vous lisez bien, en canard. C’est donc ce mystère que nos 2 justiciers vont tenter de résoudre, non sans connaître quelques rebondissements surprenants e gourmands.
Comme lors du précédent tome, le lecteur est rapidement plongé dans l’histoire, où l’humour et les jeux de mots vous ravissent à chaque page. L’enquête est pleine de rebondissement, et si pour un adulte on découvre rapidement la conclusion, pour un jeune lecteur – à partir de 11 ans- il en sera tout autre.
La relation entre Galaxine et Aérofrin est toujours aussi taquine et ambiguë. Et l’évolution de leurs personnages est attendrissante. On oublie qu’Aérofrin n’est qu’un robot, mais il semble bien pourvu de sentiments.
Voici donc un second opus d’enquête sidérale tout à fait intrigante et drôle, que l’on déguste le sourire aux lèvres et qui saura captivé un jeune public.
1 réflexion au sujet de « Galaxine et les cranards de Mars de Lenia Major »